samedi 2 avril 2016

SORTIE SUR LE SITE DE LA MALADRERIE avec le SGGA PHOTOS DE Michelle PEYNAUD POUR RACINES AIGUEZOISES





une partie du groupe


une charbonnière a laissé des traces indélébiles sur le sol témoignant de ce passé de notre territoire.



magnifiques vues sur les gorges de l'Ardèche








Sur le site de la Maladrerie

PHOTOS DEPUIS LE DONJON PRISES EN 1953 communiquées par Claude MEUNIER






UN DOCUMENT COMMUNIQUE PAR Christophe PINGET (Famille PINGET Henri La Souche Grand Rue AIGUEZE)


Un document de Christophe PINGET (SUISSE) :

""Salut Roland,

J’ai vu sur ton blog que tu triais tes archives…
Par curiosité, j’ai été voir sur les archives en ligne de « La Nouvelle Revue » et j’ai trouvé un second article concernant Aiguèze que je te fais suivre ci-joint pour information.
Bonne fin de semaine,
Christophe.""

Une photo du donjon avec l'échafaudage.





La NOUVELLE REVUE de LAUSANNE du 17 JUILLET 1975.

UN DOCUMENT DE DIDIER VENTAJOL SUR LA MADELEINE

""Ci-joint un document que j'avais découvert aux archives départementales dans une liasse...

Il s'agit du plus ancien document citant le devois du Chambon (Englobant la Madeleine). Ces quelques lignes sont très importantes car elles prouvent qu'en 1550 ce devois dépendait du prieuré du Garn, lequel avait charge de payer les impositions au diocèse. Le prieur régissait ce domaine au nom de l'église Cathédrale d'Uzès.

Ce document est daté du dernier jour du mois de mai 1550, c'est l'estimation faites par Clément Guygon et Bertrand Pomet, députés pour la recherche générale du diocèse d'Uzès, ici des terres prétendues nobles situées sur le mandement d'Aiguèze. Figurent: Les hoirs de noble Eymard de la Balme, le seigneur de Boussargues, le seigneur de St andéol, le prieur de Notre Dame du Gart (qui nous intéresse ici) et l'hôpital du St Esprit (qui possédait l'hôpital d'Aiguèze avec la terre de Espié)
"Le prieur du Gard terre appellé Le debvois de Chambon...." (Ps Le Gart, Gard ou Gar est l'ancienne forme du Garn)

Il est également à noter que dans le sud de la France les terres nobles étaient imposables (taille réelle) contrairement au nord...

Je pense que des documents existent pour remonter plus haut, mais c'est souvent chercher une aiguille dans une botte de foin, si je la trouve je te l'envoie...

Didier""



Nous remercions Didier VENTAJOL d'enrichir notre banque de documents.

mardi 29 mars 2016

 

Randonnée accompagnée jusqu'à la Maladrerie des Templiers, suivie d'une conférence à 18h à la salle polyvalente du Garn (ouvert à tous)

La Maladrerie des Templiers : quelle réalité ? après quatre campagnes de fouilles entre 2012 et 2015, l'histoire de la Maladrerie des Templiers est renouvelée. Les dernières fouilles de l'archéologue apportent donc un nouveau regard sur ce site exceptionnel !


De la part de Bénédicte RAOUX SGGA

Se signaler à CHARLY Président de Racines Aiguézoises pour ceux qui voudraient participer à ce titre.

UNE SOUCOUPE VOLANTE POSÉE DANS LES BOIS DE MEYSELLE


Posée là depuis de nombreuses années (sûrement le siècle dernier) cette lourde soucoupe volante ou qui en tout cas se présente comme ça n'a pas suscité la convoitise des randonneurs qui auraient pu la charger sur leur sac à dos.

Elle ne demande qu'à raconter sa vie : comment est-elle arrivée à atterrir là, à quoi a-t-elle servi exactement (même si on pense qu'elle a participé au travail des charbonniers) a -t-elle d'autres congénères à proximité ou plus loin ? Etc... 

Autant de questions que je soumets à votre sagacité ou érudition ainsi qu'aux explications de RACINES AIGUEZOISES à qui je propose d'étudier cette énigme. 

Par contre je peux vous la présenter, j'ai sauvegardé dans ma tête le chemin et je vous propose ces photos !




Vous pouvez intervenir dans la zone "commentaires"


Merci au Récataïre pour l' explication ci-dessous qui prouve qu'il est bien précieux pour l'histoire de notre village et qu'il en connait "un rayon" ! :

""Salut Roland,

On en trouve au moins trois autres sur Aiguèze, une dans la combe de la Conche du Lume et deux dans celle du Tour...
C'est la forme "décadente" de la traditionnelle charbonnière, et était utilisée dans les années 40 (dixit mon grand oncle qui était charbonnier à Aiguèze) La cuve était "facilement" déplaçable et évitait la fastidieuse couverture de terre... C'est vrai que c'est un beau témoignage des métiers d'antan ! Merci pour les belles photos !

A plus ""

Cette explication sur Internet : http://www.visorando.com/randonnee-les-encanaux-par-les-ravins-de-coutronne/charbonniere-ou-four-a-charbon-de-bois-d.html

""L'appareil Moreau (photo ci-dessus) a été mis au point aux environs de 1875 : « il se compose d'une cage en forme de dôme composé de plaques de fortes tôles montées sur un bâti en fonte. La partie supérieure se termine par une cheminée munie d'un couvercle mobile ; la partie inférieure est ouverte et la cage se pose simplement sur une aire préparée comme pour une meule ordinaire ».
Historiquement, en Europe, la carbonisation était réalisée par des charbonniers (ou carboniers), directement en forêt au plus près de la ressource en bois.""

Détails de fonctionnement du four à charbon de bois :
http://www.cpauvergne.com/2015/06/les-fours-a-charbon-de-bois.html